L’Ange de la Bonté
Voici un conte dont plusieurs versions circulent sur les réseaux sociaux, avec une fin plus ou moins différente (souvent sous forme de morale). J’ai trouvé que cette histoire pouvait être adaptée à «une lecture à 4 niveaux» et je me suis prêté à l’exercice. Je partage le résultat de cette réécriture avec toi.
Une explication simplifiée sur «les 4 niveaux de lecture» se trouve à la fin de cet article.
L’ange de la Bonté…
Emplie de tristesse, la pauvre femme priait… Elle priait pour que l’ange de la Bonté revienne visiter ce monde, car pour elle, il l’avait déserté. Elle ressentait ce manque, affreusement… Le soir venu, ne sachant plus comment s’adresser au ciel, elle cessa ses supplications et se mit à pleurer. C’est alors qu’elle entendit une voix :
- Sèche tes larmes, et garde espoir ! L’ange de la Bonté viendra te visiter dans 3 nuits. Il fera son retour dans ce monde en commençant par ton intérieur. Réserve-lui un bel accueil, car son voyage sera éprouvant.
Apaisée par la nouvelle et se sentant honorée, elle se leva de bon matin et se mit à briquer sa maison. Elle parfuma son intérieur, transformant sa modeste demeure en un lieu d’abondance et de paix.
Nourrie d’une énergie débordante, elle donna le meilleur d’elle-même en préparant de délicieux mets à son invité. Le troisième soir, elle dressa une belle table. Puis elle se mit à tourner dans la pièce, ajoutant à chaque tour des attentions particulières à destination de son visiteur. Quel bonheur d’être la première à témoigner du retour de l’Ange de la Bonté !
Gardant espoir jusqu’à 3 heures du matin, elle se mit à douter lorsque la fatigue l’envahit. Elle s’assoupit quelques minutes puis elle entendit frapper. Elle se redressa, se recoiffa d’un geste et ouvrit sa porte… Un mendiant se tenait devant elle, vêtu de haillons. Il lui dit d’une voix tremblante :
- En passant, j’ai senti les arômes qui s’échappent de votre maison. J’ai faim… Voilà 3 jours que je n’ai rien mangé, et pour seule boisson, je n’ai pu avaler que quelques gouttes de pluie… Pourriez-vous me servir un peu de soupe ? Même quelques cuillères me réchaufferont le corps et le cœur…
- S’il vous plaît, allez-vous-en ! Chuchota-t-elle au malheureux, qui sursauta comme si elle avait crié. J’attends de la visite et votre présence risque de faire fuir mon invité !
- Serait-il possible de partir avec un petit morceau de pain ?
- Oh Non ! Je ne peux pas le couper avant l’arrivée de mon convive… Repassez demain, je vous donnerai les restes…
Ne pouvant bénéficier de la moindre faveur, l’homme sentit qu’il n’avait aucun espoir de se rassasier dans cette maison. Il se retourna et s’en alla comme il était venu, le ventre vide…
Très fatiguée, et surtout irritée par cette visite inopportune, la pauvre femme ne put retrouver l’état de quiétude qu’elle avait réussi à atteindre quelques heures auparavant.
Espérant encore la visite de l’Ange, elle se remit à prier jusqu’à ce que le sommeil l’envahisse… A son réveil, elle retourna dans ses prières, demandant pardon au ciel, si une quelconque offense commise ces derniers jours avait annulé son rendez-vous. Elle entendit à nouveau la voix qui l’avait rassurée la première fois :
- Ne sachant pas comment t’aborder, l’Ange de la Bonté est reparti après avoir tenté de te rendre visite. Te voyant céder sa place à un intrus, il est reparti vers d’autres lieux où il était le bienvenu. Mais puisque tu es encore prête à le recevoir, il reviendra ce soir. Sèche tes larmes. Une seconde chance t’est offerte. Profites-en sans retenue.
- Toucherais-je l’ange en lui demandant de me pardonner ?
- Oui l’Ange de la Bonté pardonne… C’est là sa première qualité.
Ivre de joie, la pauvre femme se remit au fourneau afin de mériter sa deuxième chance… Elle imaginait son invité faire demi-tour tandis qu’elle tentait de négocier avec ce foutu mendiant ! Elle se promit que la prochaine fois qu’il viendra frapper à sa porte, c’est à coups de balai, et sans perdre une seconde, qu’elle chassera l’homme qui fait fuir les anges…
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Les 4 niveaux de lecture
En lisant le conte ci-dessus sous le prisme du niveau 1, le lecteur se fiera strictement à ce qui est écrit. Il lira donc l’histoire d’une femme pieuse qui a pour quête le retour de la Bonté dans ce monde, et qui est dérangée par un homme qui fait fuir l’Ange de la Bonté. Je pense (je l’espère en tout cas) que les personnes qui aiment me lire, ont dépassé ce premier degré…
Le deuxième niveau consiste à lire l’histoire qui se cache derrière l’histoire… C’est le second degré. Cette fois je pense que la plupart de mes lecteurs y ont accédé. Il te suffit de laisser ton intelligence existentielle se faire chatouiller un peu, pour apprécier (ou pas) un niveau de lecture plus spirituel. Dans ce cas, la conclusion de la «pauvre femme» tracera un sourire ironique sur ton visage. Tu as bien compris qu’il y avait autre chose à comprendre…
Le troisième niveau est moins accessible, car il se réfère à un prérequis : un enseignement préalable dans lequel l’histoire vient s’inscrire, afin d’illustrer cet enseignement. Ce niveau de lecture qui se sert du conte comme de certains mots-clefs, renforce la science du lecteur. La Connaissance se transforme alors en Style de vie, car ce degré de compréhension opère de véritables changements. Celles et ceux qui suivent mes écrits depuis plusieurs années prendront plaisir à dépasser le second degré pour lire dans cette histoire, la prolongation d’une Attitude que j’encourage et que je mets régulièrement en Valeur.
Enfin, il y a le quatrième niveau de lecture (et d’écriture) : c’est celui du mystère… Cette fois c’est dans les mots choisis et parfois dans lettres qu’on peut trouver des secrets que l’auteur a volontairement dissimulés et codifiés à l’attention des érudits. Dans ce cas, le conte sert d’onde porteuse. Il devient un moyen de transport qui permet au message profond d’être diffusé à travers le monde, à condition que l’on n’y change aucune lettre…
Si tu as atteint le niveau 4, merci de ne pas divulguer le «code». Tu peux simplement écrire un commentaire dans lequel se trouve ce qui a été codé.
Sinon, quel niveau de lecture as-tu atteint ?
J’attends ton commentaire…
Belles découvertes,
Stéphane
A propos de l'auteur
Stéphane Solomon est coach, auteur et conférencier, spécialisé dans le dépassement de soi. Il est également l’auteur de 15 programmes d’Auto-Coaching sur des sujets tels que la Gestion du Temps, la Confiance en Soi, la Motivation, la Gestion Emotionnelle, la Communication, la Légitimité, etc.
Ah, je me sens vexé. J’ai bien les niveaux 1, 2 et 3. (Enfin il me semble).
Mais je ne trouve pas le 4 ème niveau de lecture.
Malgré une seconde lecture très attentive. J’ai deux fois les 3 premiers niveaux. (Cela fait tout de même 6 niveaux ) .
Mais toujours pas de niveau 4 !!!
Tu peux déjà commenter quelques unes de tes 6 interprétations. Souvent, le fait de clarifier le niveau 3 donne accès au niveau 4…
Et attention, mon code est assez primaire. Tu cherches peut-être quelque chose à la “Léonard de Vinci”. Je n’en suis pas là ;-). Je me suis juste amusé un peu.
Bonsoir Stéphane,
Merci pour ce joli conte qui m’inspire deux choses :
1- Un dicton de Confucius je crois disant que lorsqu’on lui montre la lune du doigt, l’imbécile regarde le doigt.
Je ne suis hélas pas sûr de ne pas faire partie des imbéciles…
2- L’histoire de la Soupe aux cailloux qui raconte – si ma mémoire est bonne -qu’un jour le loup est allé voir les animaux d’une ferme pour les prévenir qu’il s’invitera pour manger une soupe et qu’il apportera des cailloux pour mijoter dans cette soupe.
Le soir venu, tous les animaux de la ferme (poule, cochon, lapin, …) accueillent le loup avec un grand chaudron dans lequel mijotent de bons légumes.
Le loup sort de son grand sac des gros cailloux qu’il ajoute dans la soupe, et tous le monde partage le festin. Le loup repart repu, et tous les animaux de la ferme sont soulagés…
Ni code ni niveau dans mes idées, trouvez l’intrus…
Qui peut vraiment être sûr de ne pas faire partie des imbéciles ?…
(à part les imbéciles, bien sûr)
Moi je suis sûr d’en être un (âne)
Je regarde toujours la lune du sage (ses fesses), avant de me regarder en train de regarder le tableau ; une espèce de réflexe de vieux Fibsurve qui, (cependant), aime s’amuser.
Concernant cette épouvantable histoire, je crois que notre héroïne est la (pauvre) fille de Karpman, et que son triangle (délicatement fermé par une pastille rouge indiquant – le 4 novembre ?) mérite l’enfer-me-ment dans lequel elle se bourreautise – é’touffe ses feux en faisant semblant de les attiser. Mais pour personne !
C’est écrit : ne pouvant bénéficier de la moindre faveur, l’homme senti qu’il n’avait aucun espoir de se rassasier dans cette maison.
Je passe sur le symbole du ventre vide, sur l’irritation (fantasmée) de cette visite opportune, de la jouissance prospective de ré-attendre encore son sauveur, de la petite voix qui dit : puisque tu es encore prête à le recevoir. Profites-en sans retenue !!!
Toucherai je l’Lange en lui demandant de me pardonner- de mes pitreries ? Dis… Tu me pardonnes Stéphane
Allez je vais faire un effort d’interprétation du niveau cinq, la vérité : je ne crois pas que ce soit une histoire grivoise et que cette pauvre fille soit prisonnière de son triangle dramatique qui ne peut produire d’ange ! En fait je pense que c’est la fille spirituelle de Balzac. D’ailleurs elle le dit : je me sens très honoré
Je ne trouve pas ton niveau 4 Stéphane – tu nous aides ?
Le donner comme ça, ce serait le gâcher…
Il faudrait tout un webinaire sur le sujet.
Non, je rêve, à force de persévérance et d’obstination.
Il vient d’y avoir un déclic pour moi.
Vraiment.
Et je me suis trop amusé à chercher.
Ah ! Sacré facétieux Stéphane.
Une perle d’intelligence que ce conte qui nous a tous fait un vrai compte jusqu’au chiffre :
4 ! Mille mercis pour ce régal.
Comme quoi, c’est souvent une question de temps.
Et le temps est souvent le reflet de l’importance qu’on donne aux choses.
Et j’ai effectivement passé beaucoup de temps à chercher.
J’aime beaucoup ta phrase :
Le temps est souvent le reflet de l’importance qu’on donne aux choses.
Je pense qu’on peut le dire aussi dans l’autre sens.
L’importance est souvent le reflet du temps qu’on donne aux choses.
Le quoi : trouver le niveau 4
Le comment : en cherchant
C’est parce que le quoi était important, pour moi, que j’ai passé beaucoup de temps pour chercher.
Le temps fait donc partie du comment dans ce cas. En cherchant comment ? En y consacrant du temps. Beaucoup.
Et entre l’importance et le temps il y a un pont.
Il me semble que ce pont, c’est la motivation.
Sinon j’aurais laissé tomber au niveau 3.
Et pour traverser le pont de la motivation il faut savoir dépenser du temps, et/ou de l’argent, et/ou de la confiance et/ou de l’énergie ! (Freebie Seekers)
A++, Prosper.
Benefice secondaire ou je me trompe ?
Reveiller nos neurones et consciences, n’est-il pas le rôle premier d’un conte ?
Avec une plume fine et précise comme celle de Stéphane,
Voir la paille que l’on a dans l’oeil, même si parfois douloureuse, devient un plaisir.
Onde de choc pour moi aussi dans ce récit truffé de pépites.
C’est tout à fait ça. Merci Danièle.
Collatéral beauty… Tout est là…
Un très bon film de niveau 3…
A moins que le niveau 4 m’ait échappé… 😉
Enjeu et investissement personnel? 😉
Valeur du propre et du commun?
(je sais, je ne suis pas très loquace… mais j’ai des idées;-))
Belle journée à toi
bon, j’aime bcp aussi “le tout nouveau testament” de Jaco Van Dormael
Peux-tu donner un lien plus précis vers la ressource à laquelle tu penses, car là, c’est juste une recherche google vers Jaco Van Dormael
Est-ce que quelqu’un peut nous aider à recenser les acteurs de ce conte, j’ai un peu de mal à les énumérer…
Merci Stéphane pour cette belle histoire, et bonne journée à tous.
Ah… J’aime bien ! C’est un bon niveau 3.
..ça me fait penser au bon Samaritain:
Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l’éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ? Qu’y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même. Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela, et tu vivras. Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : Et qui est mon prochain ? Jésus reprit la parole, et dit : Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s’en allèrent, le laissant à demi mort. Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre. Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l’ayant vu, passa outre. Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu’il le vit. Il s’approcha, et banda ses plaies, en y versant de l’huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui. Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l’hôte, et dit : Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour. Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands ? C’est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit : Va, et toi, fais de même.
Miséricorde pour son prochain, bonté dans le monde mais il ne faut pas se tromper de prochain quand on dit aime ton prochain comme toi même.
Bonsoir Stéphane, il me semble évident que le mendiant est l’ange de la bonté. Avec ça, je ne sais pas si je me situe au niveau 2 ou 3. Bonne soirée
C’est une évidence de niveau 2. C’est un bon début pour accéder à l’évidence de niveau 3.
Moi je pense que le mendiant n’est pas l’ange de la bonté, il est l’occasion donnée à cette femme d’exercer ça bonté propre. C’est pour cela qu’elle est sensée soigner son intérieur (son moi profond) pou moi pouvoir faire revenir la bonté lorsque l’occasion lui en sera donnée.
Je vois de la pro activité, de l’exemplarité, de l’ouverture aix opportunités, de l’importance de prendre soin de son intérieur pour déceler les opportunités, des langages de l’amour, de la communication ect ect .
Ça me fait penser au message de Gandhi: “soit le changement que tu veux voir dans le monde”
Elle a prié pour un changement dans le monde mais n’a pas su l’incarner lorsque l’occasion lui était donné.
Donc mon interprétation, niveau 2 ou 3?
Je ne suis pas tellement douée pour jeux de lettres. Je passe mon tour pour le niveau 4.
Merci pour cet article.
Niveau 3 !
Eh oui…
Le niveau 3 se réfère à un prérequis : un enseignement préalable dans lequel l’histoire vient s’inscrire…
Tu as cité la Proactivité* : nous sommes responsables de nos vies, et de notre monde intérieur, un monde dans lequel nous évoluons l’essentiel de notre temps en écoutant et en faisant parler nos valeurs, nos croyances, nos pensées, nos émotions… Puis nous nous manifestons (par l’action) dans le monde extérieur, et enfin, nous retournons dans le monde intérieur afin d’interpréter le résultat.
La Proactivité est effectivement l’Attitude que je mets régulièrement en valeur, en citant parfois Gandhi sous la forme :
Cette femme a donc l’opportunité d’incarner la Bonté. Si elle l’avait fait, c’est par elle que se serait manifesté l’Ange de la Bonté.
Ce ne sont pas les anges qui viennent frapper à notre porte. Ce sont les opportunités de révéler les anges qui sont en nous. En chacun de nous…
LES ANGES SONT EN TOI
Aide-toi et le ciel t’aidera.
Prépare ton monde intérieur, nettoie le , nourris le terreau de ton âme, fais y fleurir la bonté. Ta lumière éclairera le monde.
Elle a failli y arriver…
Elle n’en n’a jamais été aussi loin…
À moins qu’elle ne veuille éclairer le monde à coup de balai (c’est plutôt efficace pour dépoussiérer).
Au travers de sa prière, elle attend que le monde extérieur lui donne.
Est-elle prête dans ses prières a demander : “comment puis-je servir ?”
Quand le monde est froid, quand le monde est dur, j’aime bien relire ou réécouter la voix de mère Teresa. Elle est mon ange de bonté et elle sait me montrer le bon, le bien là où il y a souffrance et douleur. Après c’est une histoire de colibri… qui fait sa part
Une dernière réflexion avant de reprendre le travail.
Elle a pris conscience du QUOI : elle ressent et exprime le manque de bonté en ce monde.
Elle se trompe de COMMENT : elle attend une révélation extérieure (qui se présente) mais ne sait pas la voir car il lui manque la révélation intérieure.
La révélation intérieure précède la révélation extérieure. Sans elle, sans la lumière intérieure, sa vision du monde est voilée, non dévoilée.
D’où l’usage du verbe “faillir” 😉
Bonsoir Stéphane !
Je te suis bien jusqu’au niveau 3 je crois.
J’ai un doute sur le niveau 4 : tu parles bien d’un message codé a décrypter ? Si oui je ne l’ai pas trouvé non plus, et dans ce cas il me semble que ca ne nécessite pas d’avoir atteint le niveau 3 pour le décrypter : même le niveau 1 ne me semble pas nécessaire.
Ou bien faut-il comprendre un message caché à trouver ? dans ce cas je cherche dans mon actualité et ce que je sais de la tienne pour voir quel “clin d’oeil” il y a, et j’avoue que je ne vois pas trop non plus.
Le code se trouve dans le message. Ce qui en fait un niveau 4 simplifié, parce qu’effectivement, beaucoup de codes de niveau 4 sont dispersés dans plusieurs messages et demandent un vrai travail de détective. Mon code reste relativement simple. Peut-être cherches-tu trop loin.
Un indice : j’ai déjà utilisé ce type de code dans une de mes poésies (avec un message différent).
Mon âme triste et déspérée prie pour le retour du Bonheur
Un espoir naît en moi, une petite flamme, une étincelle fragile qui doit grandir,
Le Bonheur peut revenir bientôt si j’ai la Foi
La Foi donne des ailes et s’accompagne aussi du Doute
Acceuille chaque épreuve comme un signe
Permets à ta Foi d’écarter le Doute et le bonheur sera de retour
car le Bonheur n’est pas un but mais le chemin
Le Bonheur est un acte de Foi en conscience qui commence en soi et rayonne tout autour
Partage cet espoir et stimule cette croyance en chacun de nous
Ne laisse pas le doute s’imisser en toi car il pourrait chasser le bonheur
Prie, Rêve le bonheur crois en lui et cette prière sera exaucée
..ça m’est venu comme ça
Niveau 4?
Je n’ai malheureusement pas tout compris. J’imagine bien que la pauvre femme accueille la bonté en elle. Et prépare donc son intérieur. Mais elle ne perçoit pas qu’elle freine elle même ce qu’elle attend et rejette la faute sur le mendiant sans prendre conscience que c’est elle qui a chassé l’ange de la bonté de chez elle. Un message sur notre propre responsabilité dans tout ce qui nous arrive en quelque sorte
Voilà ! Tu es quasiment au niveau 3…
Alors j’y ai vu une personne qui attend que quelque chose d’extérieur vienne changer son Monde, un ange venu du ciel. Elle reçoit le message de préparer son intérieur, j’y vois son temple -> son corps et surtout son âme.
L’arrivée du messager est déjà une première étape vers son changement, elle commence à être prête à changer a faire les choses bien, mais se trompe de voie..
Le mendiant je le vois comme l’occasion présentée de changer Son Monde en y apportant de la Bonté, occasion ratée car elle reste sur un locus externe, quelqu’un ou quelque chose d’autre le fera, elle refuse de prendre la responsabilité de changer sa vie, elle s’auto sabote: syndrome de l’imposteur? L’autre ferait forcément mieux? Ou pour y arriver il faut forcément être doté de pouvoir supérieurs?
Elle passe à côté d’elle-même en restant seulement sur ce qui est externe à elle-même…. sûrement un manque de confiance en elle, du coups manque de confiance en les opportunités présentées de faire le bien autour d’elle..
D’ailleurs, l’intrus serait il le doute? Ou cet auto sabotage justement?
Je ne sais absolument pas à quel stade je suis.. 2? 3? Et concernant le stade 4 de la lecture je n’ai pas compris où tu veux m’emmener… peut-être que je suis alors comme la protagoniste et que tu es le messager?
Merci en tout cas, ça me fait du bien de te lire encore 🙂
Tu as un sacré niveau 3 de lecture. Le locus interne/externe, le syndrome de l’imposteur, l’auto-sabotage… Bravo !
La lecture de niveau 4 (si tu trouves le code dans le texte) te permettra de confirmer en une phrase, que tu as bien compris le message profond.
Bonjour,
Depuis 3 jours cette femme triste et le mendiant sont dans un manque, la femme attend la venue de l’ange et se met en action pour l’accueillir suite à la voix qui l’a prévenue et le mendiant, lui a cherché à collecter sa pitance jusqu’à ce fameux soir où il s’est fait congédié par cette femme.
“Qui fera quoi de ça ?” Soutien, confiance, espoir, demande, croire, écoute, clémence, charité-charitable…
“Qui ira au-delà ?” Ou “qui ira vers ?”
et “sera prêt à passer à l’acte ?” Personnages et lecteurs…
Charité bien ordonnée commence par soi-même… pour mieux partager
D’un simple message (bienveillant), il peut se convertir à bien d’autres situations, d’autres personnes et il se partage… Une multiplication saine !
Merci d’être auteur !
(Je ne me permettrais pas de me situer à un niveau de lecture car j’emprunte bien souvent des chemins de traverses parallèles qui me conduisent dans des contrées hors-sujet)
(Dans un parcours de vie “Qui est l’ange de qui ?”)
(sans vouloir faire de “boulettes”, ils vivent en nous)
Ce message était d’abord ressenti avant de l’avoir lu
Merci Stéphane
Bravo !
(Merci cependant c’est une particularité que j’affectionne depuis ma tendre enfance donc… Le nom commun et le pronom personnel m’ont sauté à l’oeil… Et cet hasard m’a mis le doute pour y retourner et trouver ce qui anime la joie en soi )
Il y a de bonnes addictions aux mots
Le niveau 4, tellement plus facile pour moi, m’a invitée à un cheminement entre les autres niveaux. J’étais enthousiaste et sûre de trouver ce niveau puis j’ai douté puis j’ai vaincu la technologie. Effet kiss cool. Je suis “fan de” ce mode de lecture. Merci Stéphane.
Daniele, contrairement à Stéphane (peut-être), nous, nous ne te connaisons pas et ne pouvons donc pas ‘comprendre’ (sans que cela nous vexe, LoL) pourquoi c’est “facile pour toi” alors que nous calons tous sur le “code” de Stéphane (le malicieux). Tant mieux si tu as trouvé facilement et tant pis pour nos intelligences multiples qui nous aveuglent et nous empêchent de voir “l’évidence” pourtant réservée aux “érudits” (provo?). Je n’ai pas trouvé les inversions de lettres/mots, ni les fautes intentionnelles… sauf peut-être le vrai typo ou l’oubli de “les” devant “lettres”… mais je trouve que ça m’a obligé à beaucoup m’imprégner de cette anecdocte et cela m’a permis de voir bien des facettes que je n’aurais pas cherchées/découvertes s’il n’y a avait pas eu de ‘challenge’ du “4ieme niveau”.
Par exemple, le mystère pourrait être une allusion à la situation d’auto-coaching.
On pleure (notre Moi, notre âme, “elle”) car on souhaite un changement (bonté, charité, miséricorde, amour du prochain, bonheur, mieux être.. un projet que seul on ne sait pas réaliser quoi). On prie, on demande de l’aide de l’extérieur.
Un coach (la voix intéreure ou celle d’auto-coaching) nous promets cette amélioration “dans 3 jours” avec des épreuves. Rien que de s’y mettre on se sents mieux.
Quand le mendiant vient demander de payer l’obole au coach, on trouve cette demande d’argent/commerciale inappropriée par rapport au projet/objectif personnel (le retour de la bonté dans le monde!). Dieu ou l’argent mais pas les deux. Alors quand il s’agit de bonté on s’attend à recevoir mais pas à donner.
Tant que je refuserai de donner/payer pour plus d’auto-coaching.. eh bien, le processus ne pourra pas commencer tant que je ne ‘autoriserais pas de me payer la solution! Ainsi à la fin du mystère, la femme chassera l’intrus à coup de balais, croyant bien faire et refusant ainsi de commencer à recevoir l’ange de la bonté dans sa vie…en payant un peu
Je me demande si cette analogie était prévue au programme ?
Patrick,
Tu connais peur (ou pas) Danièle, mais si elle a trouvé le niveau 4, c’est parce qu’elle me connaît bien… Elle m’a souvent vu utiliser des jeux de mots et de lettres, et sachant qu’il y avait un niveau 4 dans ce texte-ci, ça lui a sauté aux yeux. Danièle est également joueuse (elle en a parlé lorsque je l’ai invitée dans mon émission «l’auto-coach du mois»). Adepte des escape-games, elle a trouvé mon code facile (parce que comparé aux énigmes des escape-games, c’est VRAIMENT facile).
Danièle ne se targue d’une intelligence supérieure. D’ailleurs, je n’ai jamais dit que les lecteurs de niveau 2 ou 3 étaient «bêtes». Tu sais que je respecte trop les intelligences multiples pour oser juger ou même évaluer les personnes qui m’entourent ou que je croise. En parlant de niveau de lecture, je parle plutôt du fait que je me suis prêté à un certain niveau d’écriture et que ceux qui veulent entrer dans cette profondeur peuvent s’autoriser à le faire (il y a quelque chose à trouver pour ceux qui le souhaitent).
Pour ce qui est de ton analogie avec le paiement du mendiant, je n’y a pas pensé. Donc non, ce n’était pas prévu au programme. Et je t’avouerais que si j’y avais pensé, je n’aurais pas pris un mendiant comme personnage à payer… Même si je comprends la profondeur de ton analogie, je ne prendrai pas le risque de comparer mes offres à de la mendicité ou le PWYW à un «appel à don»… Je ne prendrai le costume du mendiant que lorsque je serai sûr que 100% de mon auditoire est capable de gérer la métaphore, et de la sublimer.
Pour finir, avec ton regard aiguisé et me connaissant relativement bien, tu peux trouver le code du niveau 4 assez facilement. Pas besoin d’une calculatrice ni d’un décodeur particulier. C’est du niveau 4 de débutant ;-).
Patrick, loin de moi l’idée de snober en trouvant ce niveau 4. Si cela ne m’avait pas assez rapidement sauté aux yeux, par habitude des jeux, je me serais même sentie coupable de tricher en passant par le niveau 4 pour mieux explorer le niveau 3. ce type d enigme peut m’empêcher de dormir jusqu’à ce que je trouve. Je me suis égarée quand même quelques temps en cherchant à appliquer un code plus compliqué, qui m’avait fascinée quand Stephane m’en avait parlé. Un peu comme cette femme, aveugle à ce qui se présente à elle, simplement.
Le bonus de lecture dont je parle (effet kisscool), mon autocoaching du jour, est que j’avais bien perçu le 3 mais avais besoin de ce niveau 4 pour accepter de me faire confiance.
Effectivement ce 4eme challenge pousse à profiter plus en profondeur de cette lecture.
Merci pour ta remarque, je me rends compte que mon post n’était pas clair par peur de gâcher votre plaisir en livrant un indice.
Bonjour Patrick,
Je rejoins l’idée de Danièle, la “facilité” de décrypter provient aussi du fait que nous sommes adeptes du système.
Personnellement, je ne me sens pas niveau 4 ou 3 ou 2 même pas parfois niveau 1… Je suis ce que je suis dans un instant T avec l’occasion de digérer, plus ou moins haut les textes abordés. J’aime l’idée de pousser ma réflexion et voir aussi celle des autres. Bien souvent j’évite de développer pour éviter le “lyrisme”.
Je perçois beaucoup de bienveillance de Stéphane dans ce texte (qui m’a profondément émue et me fait réfléchir encore).
Le minimalisme peut être capitale est laissé apparaître l’authenticité.
Bonjour, Stéphane.
Merci pour cette histoire.
Je n’ai pas bien compris ce qu’est le niveau 4.
L’intrus semble être l’image que la femme se fait de l’ange de la bonté, qui l’empêche de penser qu’il lui faut manifester de la bonté pour le voir, non?
Amicalement
Emmanuel
Si si… C’est le niveau 3.
Le niveau 4 est en général un code caché dans le texte (dans les lettres, les mots, l’ordre des mots, et parfois même des fautes d’orthographe volontaires). Ce qui fait qu’à moins de passer un temps important dessus, tu ne pourras pas le voir, car ça demande une investigation.
Ceci dit, dans mon cas, le code est simple. Il suffit de savoir qu’il y a du niveau 4 dans ce texte, et après, on le voit ou pas (pas besoin de sortir sa calculette, ni un déchiffreur d’anagrammes).
Le message dissimulé dans le niveau 4 confirme que ton interprétation de niveau 3 est la bonne.
Merci Stéphane!
Aide toi et le ciel t’aidera!! On dit aussi on récolte ce que l’on sème [s’aime?]….Là, j’ai le seum, je relis mais le niveau 4 m’échappe a priori. Je garde foi et espoir et me dis que si je ne trouve pas, c’est que j’ai encore plein de choses à apprendre et découvrir
Alors tu le découvriras. Si tu comptes sur toi, tu peux compter sur moi aussi.
Je pense que je suis au niveau 3.J’ai surtout retenu que la voix dit à la femme que l’ange commencera par son intérieur, ce qui a un sens double. Elle n’en comprend que la moitié. je remarque aussi au début que ses supplications étaient sans effet jusqu’à ce qu’elle se mette à pleurer. C’est la force des émotions. Nous avons généralement une chance, exceptionnellement deux. Dans le cas de cette histoire, la femme, tellement fixée sur la nature de ce qu’elle attend, est incapable de voir l’opportunité qui lui est offerte et va s’enfoncer définitivement dans cette cécité quand elle aura gâché sa deuxième chance.
Merci, le mot “intérieur” ne me plaisait pas placé de la sorte dans le texte
Voilà pourquoi
Je pense avoir atteint le niveau 3 avec la nécessité de s’appuyer sur sa force intérieure, de prendre appui sur soi plutôt que sur des éléments extérieure, et s’avoir “ouvrir les yeux” sur les gens qui nous entoure.
Pour le niveau 4, je ressens que cela fait appel à des histoires liées à la religion et ma connaissance en ce domaine est limitée.
Merci Stéphane
Oui Guillaume, tu es en plein dans le niveau 3. Pour ce qui est du niveau 4, ce n’est pas lié à la religion. C’est un code accessible même sans aucune culture religieuse.
La voix, la femme, l’homme, 3 personnages…3 jours d’attente qui font monter la tension.
L’ange (l’arlésienne) pourrait être ce qui relie cette Trinité, si chacun pouvait reconnaître ses 3 visages.
Demander, c’est donner le pouvoir. De “Bonté” à l’autre (pour l’homme affamé de nourriture physique qui donne le pouvoir de le nourrir à la femme affamée de nourriture spirituelle qui donne le pouvoir de la nourrir à l’Ange). La tension ne se résoud que dans le “craquage” émotionnel ou l’endormissement involontaire, où des indices apparaissent, mais qui ne sont pas lisibles par la conscience qui tente de les décoder…
Comme moi : plus j’essaie de faire l’intelligente et décoder avec ma tête, plus je me sépare de mes intuitions et de ma compréhension véritable.
L’énigme attise la curiosité. 3 jours sur ce conte et lorsque maintenant je vois mon mendiant intellectuel frapper à la porte en écrivant ce commentaire d’une main tremblante(bon, là, je surjoue c’est vrai…) , je m’attends à ce que l’auteur me dise : désolé, j’attends un commentaire plus prestigieux donc tu resteras sur ta faim.
Tous ces personnages nous ressemblent : si nous reconnaissions que nous avons déjà (toutes) les réponses, que nous ne pouvons atteindre parce que nous les attendons de l’extérieur, toute la nourriture (à partager), donc toute la Bonté qui nous inonde comme la pluie mais que nous ne pouvons récolter faute d’une coupe pour recevoir cette pluie d’abondance. (A défaut de Coupe, nous pouvons toujours aller la la Soupe.)
Niveau 4 ou Ca-niveau? … le conte n’a pas fini de nous édifier !
Les niveaux 2 et 3 ne sont pas à mettre dans le ca-niveau, loin de là, puisqu’ils sont déjà en hauteur. Il y a même un niveau zéro… Un lecteur qui m’a écrit hier qu’il préférait se désinscrire, parce qu’il sent que je penche de plus en plus vers la religiosité en ne veut pas me suivre sur ce terrain…
Avec ton niveau 3, tu es très au-dessus de ça, et je n’en attendais pas tant (de toi si 😉 ).
Je vais t’avouer un petit secret d’auteur :
Lorsque j’ai écrit la première version de ce conte, je n’y avais pas mis de niveau 4, et dans ma conclusion, j’ai expliqué ce qu’était le niveau 4, tout en disant que je me suis arrêté au niveau 3.
Puis avant de cliquer sur le bouton de publication, je me suis dit en moi-même :
Je me suis donc lancé dans la réécriture pour y insérer mon petit niveau 4.
J’ai juste fait une petite erreur de calcul : j’ai mis 3 heures à le faire. Mais ce n’est pas un bon indice, car lorsque je te divulguerai de quoi il s’agit, tu te diras :
C’est bien ce que je croyais, avant de me lancer…
Bonjour à tous,
C’est ma 1ère participation à ce « jeu » ou cet « exercice ».
J’ai donc tenté de comprendre…en lisant les remarques ci-dessous.
Ce qui me frappe, c’est le conditionnel utilisé dans « toucherais-je l’ange si… » car selon ce que j’ai compris, on parle ici de bonté ou…d’amour… inconditionnel(le)… qui est attendu(e).
Serait-ce le petit truc caché ou bien est-ce beaucoup plus subtil?
Merci en tout cas!
Bonsoir Béa,
Le niveau 4 de la lecture est souvent lié à des «codes» qui se trouent dans le texte. Il peut s’agir d’anagrammes, d’inversions de lettres ou de mots mal écrits qui ressemblent à des maladresses mais qui sont volontairement placés là pour être décodés. Il peut également s’agir de répétitions qui paraissent inutiles, mais qui révèlent une partie caché de l’histoire, etc. C’est un code, une énigme, un jeu de piste…
Ce que tu as relevé est plutôt du niveau 2 ou 3 de la lecture, car en effet, cette question démontre que cette femme ne connaît pas assez bien son invité, et tu as bien fait de le relever. Cependant, il n’y a pas plus d’énigme dans cette phrase, que dans d’autres phrases de ce texte. Le code est ailleurs…
Bonsoir,
“Les anges “ Pour le niveau 4? Il est question pour la femme que de l ange de la bonté … l emploi du pluriel donne une ouverture…. son moi intérieur n a pas seulement besoin de l ange de la bonté ou qu elle ne saisira jamais sa chance et qu il reviendra sans cesse…
Si tu parles de la phrase finale, c’est très bien trouvé (en lecture de niveau 3), et le niveau 4 (codifié dans l’ensemble du texte) confirme ton intuition.
Ce qui fait que ton interprétation est brillante, mais tu pourras difficilement la défendre face à d’autres interprétations. Sauf si tu trouve le niveau 4, qui fera que les autres commentateurs diront : elle avait raison !
Le niveau 4 confirme ton interprétation.
Merci pour cette belle histoire digne des meilleures paraboles bibliques, mythes ou contes pour aiguiser la sagacité et intégrer quelques vérités humaines. Je ne sais s’il existe 4, 5 voire même un niveau marketing particulièrement étudié et redoutablement efficace pour “aller-vers.fr”.
Cela fait partie du jeu. D’ailleurs en parlant du jeu, j’ai la sensation que l’ange, l’enjeu prend racine en je (intérieur) et commence par donner. Et ce n’est que l’expression de ma propre vérité.
Aller-vers.fr arrive à sa fin (en tout cas sous cette forme). Il n’y a donc pas du marketing dans ce texte, car pour le moment, je n’ai plus rien à vendre.
Cette histoire (qui pourrait être une conclusion de ce programme) rappelle une Attitude que j’ai mis en valeur tout au long de ce joli parcours.
J’aime beaucoup ta conclusion qui relève d’un style de vie que j’apprécie aussi : Donner avant de recevoir. Joli point relevé, que je prendrai plaisir à commenter.
Déçu, personne ne me donnera le code, même pas un indice ?
Tu as combien sur ton compte en banque ?
Bon… Plus sérieusement, tu sais très bien que beaucoup de mes initiatives ont une suite. Donc il n’est pas exclu que je révèle ce code lorsque je sentirai qu’un maximum de personnes pourront en bénéficier (nous sommes dans un programme collectif).
Et surtout, je ne vais pas juste le donner comme ça et passer à autres chose. Je vais le révéler dans un contexte plus global pour que tout ça ait du sens pour une longue durée.
Je vais en faire tout un webinaire tiens… Et la résolution de cette énigme y aura une petite place, parce que ça ne peut s’arrêter là pour moi. Celles et ceux qui voudront quitter le webinaire une fois leur curiosité satisfaite pourront le faire, mais je préfère rester en dehors de ça. Ce n’est pas une simple curiosité, c’est un sujet global beaucoup plus profond, et ce texte (entre autres) fait partie de ce sujet.
Bonjour
Je ne sais pas à quel niveau j’en suis. J’ai seulement compris que l’ange était le mendiant et que la femme a laissé passé sa chance… ou alors, je n’ai rien compris.
Bonne fin de journée
Bonjour Christine,
Ta lecture est pour l’instant, d’un bon niveau 2 (pour moi, l’auteur de ce texte).
Je tiens à rappeler que cela ne signifie pas que tu es «une lectrice de niveau 2» (ne confondons pas ce que nous sommes en profondeur avec ce que nous faisons à un instant T).
Cela signifie simplement qu’en fouillant bien (si tu souhaites fouiller), il y a un niveau 3 plus aligné sur ce que je propose en général.
Enfin, pour le niveau 4, un peu de patience. Ca viendra.
En lisant ce texte j’entends le dialogue intérieur incessant qui m’empêche d’atteindre ce que pourtant je souhaite très fort. Mes yeux embués ne voient pas ce qui s’offre et qui est déjà là.
Il y a deux voix : celle qui espère et agit, amenant ainsi énergie et paix, et celle qui doute, qui à elle seule chasse toute la beauté que je construis et nourris.
La voie de la beauté, elle, pardonne instantanément, si je l’acceuille enfin.
Je croirais entendre un petit sage vert aux grandes oreilles me dire “La force est en toi”. Stéphane, tu as brillamment vendu la mèche dans tes différentes réponses !
Ton idée de niveau 4 est également brillante : Il n’y a jamais eu autant de commentaires …
Je pense que je suis au niveau O car pour moi , l’Ange de la bonté , cela pourrait être cette femme mais elle ne le voit pas , elle ne veut pas le voir . Elle a toutes les capacités de montrer sa générosité . Mais elle ne le fait pas . Son attitude est froide avec le mendiant alors qu’en sauvant ce mendiant , elle se sauvera elle même . En apportant de la compassion à ce mendiant , ce mendiant lui en apportera également . Elle se sentira Utile au monde et montrera ainsi de belles valeurs et peut être que son estime d’elle même augmentera. Elle réalisera que tout le monde peut être un Ange de la Bonté , il suffit qu’elle le veuille .
Vanessa,
Dans un contexte de coaching, tu es au niveau 3 !
Rendez-vous dans notre webinaire de demain pour en savoir plus+
En continuant à reproduire le même scénario, ( refaire un repas, virer le mendiant), elle s’obstine dans la même voie, au lieu de persévérer à arranger son intérieur (elle-meme).
Elle éconduit un voyageur qui a été éprouvé (faim; pluie) mais elle devait savoir que le voyage de l’Ange allait être éprouvant, c’est à dire apte à apporter une preuve.
Bon j’ai du mal à décoller, Stéphane dis nous tout!
Eureka! Les anges sont en toi