Le Triangle Dramatique de Karpman
Dans la vidéo d’aujourd’hui, je te propose de (re)découvrir Le fameux Triangle Dramatique de Karpman.
Après une brève introduction, je réponds à la question de Lise qui voudrait compléter ses connaissances sur la posture du Sauveur, qui a très mauvaise presse (du moins en première année).
Grace à l’outil «Mamie Inside» (notre monstre tentaculaire), Lise aura une sacrée réponse.
Toi aussi du coup :
Merci Stephane@ je connaissais ce triptyque n°1 et arrivai à le repérer.je savais qu ‘il fallait un pas de côté poussent sortir..par contre je ne connaissais les intitulés du triptyque n°2.
Mais je comprend mieux ainsi le soutien qui prend la personne comme elle est et travailler avec elle comme dans le cercle de Prochaska et Di Clemente.
[Dans cette approche, à chaque stade, le thérapeute adapte son discours aux représentations du patient sur son comportement problématique, de façon à induire un passage au stade suivant.
et donc à la sortir de la victimisation pour la rendre responsable et participante!
Le sauveur ayant une posture de sauver ( la vie) quoiqu’il arrive ou en coûte et ce malgré l’avis , s’il est exprimé de la personne concernée.
Dans ma posture de médecin effectivement je deviens soutien même si
Sauveur est valorisant pour l’ego!
Merci
Dis donc Stéphane, en ce moment ça s’enchaîne et on a du mal à suivre ! En ce qui me concerne j’attend d’avoir un moment tranquille pour déguster cette vidéo sur un sujet qui me concerne au plus haut point. Promis tu auras ton commentaire.
A bientôt !
Enfin pris le temps de regarder la vidéo, et je constate que moi aussi j’étais resté en première année. Merci Lise, merci Mamie et merci Stéphane pour cet éclairage ! Qui m’amène à reconsidérer certaines configurations vécues sous un nouvel angle. Un questionnement : comment le sauveteur, devenu soutien, peut aider (ou manipuler) le bourreau pour qu’il devienne simplement assertif ?? Allez Je me couche sur cette réflexion et si demain je vois toujours pas, ben je demande à mamie !
oui😊 ´me ferait plaisir que nous parlions du triangle, et de ses rebonds.
pas facile de passer au triangle compassionel particulierement de sauveur à soutien quand les émotions trop fortes s’en mêlent, particulièrement avec ses proches. Hors mis dans le coaching, où l’accord explicite est obtenu et clair, le niveau de challenge ainsi que son objet sont aussi délicats, la frontière avec la persécution étant fine. là je pense particulièrement aux managers. De la même façon, il arrive de se sentir sauvé alors que “juste ” soutenu, c’est à dire sauvé de la meilleure des façons, à la façon coach en fait. En résulte alors de la gratitude plutôt que déni, rejet, colère, sentiment d’incompréhension, irresponsabilité ou même honte suite à un sauvetage perçu soit comme intrusif et non souhaité, par un donneur de solutions alors que seulement l’écoute était attendue, soit encore mettant en évidence un abandon trop facile.
De fait, j’aimerais bien avoir ta vision sur le non remerciement de Mamie.
Enfin, une explication coaching sur ce fameux triangle dont j’ai souvent entendu parlé et entendu énormémement de théories là-dessus ! C’est fou, je ne l’avais pas vu dans l’article et quand tu l’expliques, c’est si évident… J’adore le triangle des gagnants, tellement plus positif et menant vers la progression.