Love Stroy…

S’il y a une phrase que je ne dis plus à Karine, ma femme, c’est la suivante :

Je suis désolé…

Mais pourquoi ? Me diras-tu. C’est quand-même la moindre des choses d’avouer ses torts face à l’être aimé… Sinon, face à qui le feras-tu ?

Tout le monde peut faire des erreurs, et tout le monde devrait se sentir désolé de les faire. La moindre des choses dans ce cas, c’est de dire «je suis désolé…»

Ah mais moi j’aimerais bien le dire, et j’aimerais bien l’entendre aussi ! C’est ma femme qui ne veut pas de ça dans sa maison. C’est une loi qu’elle instaurée en elle depuis qu’elle a 12 ans, après avoir vu le film «Love Story». Dans ce film culte (dont le thème musical nous tire les larmes dès les premières notes), Oliver dit à sa chère et tendre Ali, en plein mélodrame :

– Je suis désolé…

Ali lui répond alors avec désespoir :

– L’Amour, c’est de ne jamais avoir à dire qu’on est désolé…

Si tu me demandais suite à quel action désolante Oliver a pris ça dans sa tronche, je ne saurais pas te dire, et je suis sûr que Karine non plus ne se souvient pas du tout du contexte. Mais la citation a fait écho en elle, et a instauré un style de vie amoureuse qui dépasse la réplique du film. Pour Karine :

– L’Amour, c’est de ne jamais avoir à dire qu’on est désolé…

Je reviendrai sur le fond de cette citation et de ce qu’elle implique une autre fois, car ce n’est pas le sujet du jour. Ce petit «j’raconte ma vie» va nous servir de support pour un petit exercice de 3 minutes.

Le voici :

Ecris en commentaire une citation sur le thème de l’Amour.

Elle peut contenir le mot «Amour» comme elle peut le suggérer sans le citer. Elle peut aussi contenir une conjugaison du verbe aimer. Fais vraiment ce que tu veux de cet énoncé, du moment que tu penses que tu es dans le sujet :

Une citation sur le thème de l’Amour.

Si tu n’en trouves pas dans ta tête en moins de 30 secondes chrono, va sur Google, et tape «citations sur l’Amour». Tu vas en trouver à gogo ! Lis les 10 premières et choisis celle que tu veux, pour la copier-coller.

Voilà… C’est tout… Et on développera demain.

A demain,

Stéphane